Avec Alexandra Desnier, c'est toujours particulier. Le nez sur le calendrier, la date approche, ça va arriver.
Panne de lecture ou pas, on sait que le livre sera lu sur une ou deux soirées. Monsieur Lœvenbruck, toutes nos excuses, nous posons votre livre pour prendre le petit Desnier.
Des flics, un tueur en série, arf, ce n'est pas trop le moment, on a envie d'autres choses... Que nenni, c'est du Desnier, ça passe tout seul. Elle pourrait faire un remake de la Petite Maison dans la Prairie, nous prenons.
Alors qu'est qu'il donne son petit dernier ?
C'est comme d'habitude très sombre, très en dehors du moule et méga addictif.
Certains pourraient trouver probablement quelques petits défauts ; d'autres diront que c'est un peu trop court.
Nous, nous ne disons qu'une chose : vivement le suivant.
Vous irez à la rencontre d'une flic abimée, Livia, ; elle a perdu sa fille, Tammie, dans des circonstances dramatiques (chut, nan nan, je n'en dirais pas plus). Elle est accompagnée de son collègue et ami, Travis. Ils vont, ensemble, enquêter sur des meurtres forcément horribles. Allez, un petit mot sur les meurtres, enfin quatre : cœur, plume, aorte, balance.
On ne vous en dit pas plus sur l'histoire mais sachez que c'est sombre, très noir et bien foutu, avec un côté psychologique redoutable.
Du bon, du très bon Alexandra Dernier.
Une chose : NOUS EN VOULONS ENCORE !
Merci Alexandra et BRAVO !
Résumé :
Le poids de la culpabilité a ceci d'équitable qu'il enchaîne son détenteur aux ténèbres de son âme.
Des cadavres mutilés,
leur cœur subtilisé,
une signature : Maât
Diplômée en littérature et psychologie, Alexandra Desnier conjugue ses deux passions à travers l'écriture. Avec Maât elle signe son sixième roman.
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