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Solène Bakowski – Un sac

Dans la quête de mon Graal littéraire, j’en ai trouvé un qui s’en rapproche beaucoup 
Bien évidemment, il devient mon « presque » livre préféré. 


Pourtant, le titre « Un Sac », la couverture ne m’attiraient pas spécialement. C’est ma petite femme qui a, presque, exigé que je le lise.

Désormais, la bataille est lancée pour savoir à qui appartient ce livre au statut, si privilégié, de livre préféré.


Le contexte, bien évidemment, n’entraîne pas à s’identifier aux personnages ; pourtant, à chaque, je me suis attaché, identifié.

J’ai frissonné pour l’affreuse rouquine, mis à la place de Max le beau gosse (pourtant je ne le suis pas), Tolstoï, Monni, l’Ange déchu. A chaque épisode, tout au long du livre, la rousse a franchi une marche vers son bonheur, et elle a glissé pour tomber encore plus bas.
Ce roman m’a donné tant d’émotions que je pense que j’aurais du mal à tourner les pages d’un autre livre avant un moment.

C’est bien la première fois que j’ai eu des frissons à lire certaines pages. Ce livre est un monstre, il en devient sacré de par sa noirceur. 
J’en ai lu des tonnes, celui-là est différent, un aboutissement. Et que dire de ce statut de premier roman. Quel talent !!!

On parle en ce moment de Mattias Köping et de son côté, sans filtre, violence. Ici, nous n’en sommes pas à la même chose, nous sommes dans un tonnerre d’émotions ; sur des personnages tellement crédibles, presque de la vraie vie.

L’abandon est traumatisant.

L’humanité est horrible.

L’homme est cruel.

Et l’écriture ? Solène a une plume magnifique, simple, ça coule, se lit vite. 


MAGISTRAL !

Solène Bakowski

Un Sac

Résumé : 

Oserez-vous regarder dans le sac ?

En pleine nuit, une jeune femme attend face au Panthéon, seule, un petit sac dans les bras qu'elle serre comme un étau. Cette femme, c'est Anna-Marie Caravelle, l'abominable, l'Affreuse Rouquine, la marginale.
Vingt-quatre ans plus tôt, Anna-Marie, fille d'un suicidé et d'une folle à lier, a été prise en charge en secret, à l'insu du reste du monde, par la vieille Monique Bonneuil, qui ne s'imaginait pas qu'elle abritait un monstre sous son toit. Un monstre que, lentement, elle a fabriqué. Car la petite fille, poussée par ses démons, hantée par son histoire, incapable de distance, se met à tuer. Tuer, sacrifier pour régler ses comptes, tout simplement.
Mais que fait-elle là, Anna-Marie, désormais jeune femme, agenouillée en plein Paris au milieu de la nuit ? Et que contient ce mystérieux sac qu'elle serre dans ses bras ? 

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